Our website is made possible by displaying online advertisements to our visitors.
Please consider supporting us by disabling your ad blocker.

Responsive image


Discussion:Empathie


(la notion d'empathie n'impliquant pas en elle-même l'idée du partage des mêmes sentiments et émotions, ni d'une position particulière vis-à-vis de ces derniers) Je déplace cette phrase dans la discussion étant donné qu'elle est purement et simplement en contradiction direct avec les résultats scientifique étayé dans la section Neurosciences « On fait subir à la première une légère douleur, et l'on voit une région précise de son cerveau « s'illuminer » lorsqu'elle la ressent. La personne voisine, qui observe la scène sans être manipulée et donc sans rien sentir sur le plan physique, présente une image IRM comparable au même moment, tout simplement par empathie. On arrive donc à mettre en évidence un sentiment »11 Crazyßlade

[Xa] une contradiction me saute aux yeux:

1)La perception empathique est liée à la fonction amygdalienne. 2)L'empathie implique un processus de recul intellectuel qui vise la compréhension des états émotionnels des autres, tandis que la sympathie est un comportement réflexe, de type réactif.

le débat sur cet article est-il plutot d'ordre idéologique ?


Le point de vu neurologique est intéressant, mais ne doit surtout pas devenir majoritaire (voir hégémonique) sur cette page.
Même l'état réflexe est hypothétique, et très loin de pouvoir être déduit de l'état actuel des neuroscience.
Il faut se méfier des nombreux raccourcis qu'on pris les neurosciences cette dernière décennies (et encore… ça fait moins de 10 ans…) tirant des conclusions sur des résultats supposant exactes des études non-encore confirmée (voir non encore menées), elles mêmes basée sur d'autres études non encore confirmée…
ça reste la norme en neuroscience ces derniers temps.
Tout comme il faut différentier la perception par nos sens de la sensation interprétée par notre cerveau, et altérée par notre vécus, notre histoire, notre culture…
Il est très important de différentier la captation d'une activité localisée dans le cerveau (donc la localisation d'un "traitement" d'information) et l'idée que c'est ce traitement qui génèrerai l'émotion ou même le "sentiment"…
Elle pourrait tout aussi bien être une conséquence (ou une conséquences d'autres traitements non analysé) et non une cause. Les neuroscience sont à ce jour très loin d'être capable de répondre à la question du mécanismes neurales générant la pensée ou les émotions, ou même seulement la mémoire. Ils arrivent seulement à déterminer des "zones d'activités". et tissent des "corrélations", en restant incapable de déduire des causalités réelles.
L'immense partie des "conclusions" publiés dans les journaux de vulgarisation, concernant leur capacité à "localiser" les sentiments, ou décrivant les "mécanismes" en jeux sont d'énormes raccourcis, voir de pure croyances (espoir ?), qui n'ont aucune base scientifique réelle. Ils visent surtout à émouvoir et émerveiller la population pour "défendre" son beefsteak subventionnel auprès des pouvoirs publics.
En toute rigueur, les neuro-science sont encore très loin d'être capable de comprendre comment nos pensées se forment, comment notre mémoire, nos autres perceptions présente, notre histoire ou même notre nature (génétique…) influe sur cette pensée, son déroulement, sa construction.
Non, nous ne percevons que des "zone d'activité", et ça s'arrête là. La science se doit de rester humble, et les neuro-science encore plus.
28 décembre 2015 à 01:54 (CET)Titsta (discuter)

Previous Page Next Page








Responsive image

Responsive image